Samedi 3 Septembre 2016
Marché à Beaune,
riche, coloré et parfumé, on y trouve de tout : de beaux étals de fruits et légumes, la viande chez les bouchers installés dans les halles côtoie les fromages, les épices et les arômes dégagés par les rôtisseurs de la place Fleury.
Trace d'une peinture de la Grande Vadrouille tourné dans les hospices de Beaune
Puis aprés le repas du midi, nous partons vers Dijon en faisant une petite halte au village de Nuit Saint Georges. Une place et une église mais pas plus. Le vin restant le seul intérêt.
Dijon, magnifique ville avec je ne sais combien de maisons à colombage, d'églises, de monuments, musées.
La place de la libération, emblématique de la ville de Dijon,faisant face à l'hôtel de ville,entourée de nombreux restaurants et bars.
Formé de plusieurs parties architecturales datant du XIVème siècle, le Palais des Ducs de Bourgogne est aujourd'hui l'Hôtel de Ville de Dijon. En plein centre ville, il abrite également le Musée des Beaux Arts
Ancienne église Saint Etienne, édifiée au milieu du 11ème siècle puis remaniée aux 15ème et 17ème siècles, cette église d’abord abbatiale devint cathédrale en 1731
Enfin, il était temps ...
Le palais des ducs et des états de Bourgogne à Dijon en Côte-d'Or est un ensemble architectural comprenant plusieurs parties imbriquées : la plus ancienne est le palais ducal des xive siècle et xve siècle, de style gothique, qui comprend encore un logis (bien visible depuis la place des Ducs), les cuisines ducales (cour de Bar) et deux tours : la tour de la terrasse, ou tour Philippe le Bon et la tour de Bar.
Madame la duchesse veut elle bien se donner la peine ...
L'église Notre-Dame de Dijon, commencée en 1220 et terminée en 1240, se rattache au style dit «gothique bourguignon».
Les gargouilles de notre de Dame de dijon.
La façade-écran de Notre-Dame est constituée de deux rangées d'arcatures, chacune soutenue par dix-sept colonnettes. L'ensemble est souligné par trois bandeaux qui abritent, chacun, dix-sept fausses gargouilles et seize métopes. (On appelle métope la partie carrée sculptée de motifs végétaux entre chaque gargouille).
Un récit du moine Étienne de Bourbon, au XIIIe siècle, raconte qu'un usurier qui entrait à l'église pour se marier fut tué par la chute d'une gargouille qui symbolisait l'avarice.
Un jacquemart ou jaquemart est un automate d'art représentant un personnage sculpté en bois ou en métal, qui indique les heures en frappant une cloche avec un marteau..L’un des plus anciens et des plus célèbres est celui de Dijon.
Le monde des vieilles pierres. L'église de Notre-Dame de Dijon date de l'époque de Philippe Auguste.
L'orgue de tribune de Notre-Dame. Construit par le facteur dijonnais Ghys, il a été inauguré en 1895.
Cet animal nocture représente le porte-bonheur de Dijon et l'un de ses symboles.D'aprés ce que l'on dit,il faut faire un vœux en la touchant de la main gauche pour qu'il se réalise.
Différentes théories viennent expliquer la présence sur les contreforts de l’église, on pense notamment que la chouette représente la sagesse, qu’elle voit clair dans les ténèbres, ou que l’architecte de la chapelle se nommait Chouet.
Dans le quartier médiéval, les rues sont étroites, les maisons ne paraissent pas droites. Le vieux centre fait partie du patrimoine mondial de l'UNESCO.
La place François rude se trouve au beau milieu de la ville musée. C’est un lieu de passage et d’animations. Un carrousel transporte les enfants d’un point au même point, riant aux éclats, peut-être de l’absurde de la chose.
Il n'y a que Maille qui m'aille. Lol
Dernier cliché avant de rejoindre la cacahuète.La cathédrale Saint-Bénigne a un magnifique style gothique,sa construction remonte à l'année 1280.A son sommet se touve une flèche de 93 mètres de hauteur et son toit multicolore est très original.A l'origine,l'église était un monastère.
On préfère garer le Phoenix à Volney avec une vue magnifique et surtout seuls.
On apprend que "La Grande Vadrouille" fête ses 50 ans dans le village de Meursault, petit village de Côte d'Or réputé pour son vin blanc.
Tout ici célèbre l'anniversaire du film, à commencer par la mairie, un ancien château-fort que Gérard Oury avait transformé en kommandantur.
Les Hospices de Beaune ont été le cadre de quelques scènes dans la cour d'entrée et "la salle des Pôvres".
Un autre souvenir "L'aventure c'est l'aventure".
La caméra qui a servi pour tourner le film.
Il ne lui manque plus que le treilli. Il n'est pas beau mon soldat ....
Super repas pour ce 50eme anniversaire
Plus de place, nous allons donc dans un petit restau.
En entrée des escargots de Bourgogne bien sûr...
Et le Vin à 30€ la bouteille oupsss, le moins cher sur la carte.
Projection du film sur la place ...
Reportage : V. Gaget / D. Sébastien / P. Fivet / S. Robert / C. Heudes / Y. Kadouch Denis Vincent-Rosi a 26 ans, en 1966, quand Gérard Oury pose sa caméra à Noyers-sur-Serein (Yonne) pour filmer une scène de "La Grande Vadrouille". Le jeune homme habite à deux pas du tournage.
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